C’était une belle journée, aujourd’hui, tout annoncer le printemps. Les oiseaux qui chantent, le soleil haut dans le ciel, et un beau 15 degrés. On pouvait déjà remarqué les bourgeons qui pointés leurs bout de nez sur les arbres, et tout ceci rayonnais les gens. Un monde important était dehors à se prélasser au soleil, mais Alexander n’aimait pas trop le soleil. Même si celui-ci ne lui causer pas de dommage sur la peau, heureusement d’ailleurs, car se terrer au fond d’une grotte et ne sortir que de nuit sous peine de finir fondu par le soleil n’aurait pas enchanter mister le vampire.

Alexander parcourrait la salle de musique, un lieux qu’il aimait tout particulièrement quand ils n’y avaient personne à l’intérieur, c’était si calme. Le jeune homme s’approcha du piano noir brillant et laissa ses doigts glisser dessus. Ce piano ne valait pas le sien mais il n’était pas trop mal. Alexander pouvait jouer a sa guise quand il en avait envie. Il s’assit sur le tabouret, et commença à jouer quelques notes en se laissant allez. Il ferma les yeux et repensa à ce que son professeur lui apprenait, sa première mélodie qu’il avait jouer lui revient en tête et il s’appliqua à la reproduire. Après quelque essais de mémoire, elle coula toute seule. Une mélodie douce, qui lui rappeler sa mère, sa mère avait toujours était douce avec elle. Elle pratiquait aussi le piano et c’est pour cela que Alexander voulait jouer de cet instrument.

Il s’arrêta brutalement et se rapprocha de la fenêtre, l’ouvrit en grand et pris une grande bouffer d’air, comme s’il manquait d’air. Mais un vampire ne manque jamais d’air. Il parcourut du regard les humains d’en bas, tous entrain de s’amuser. Jouer au foot, ou badminton ou tout simplement bronzer. D’autre c’étaient abriter sous les arbres et discuter tranquillement. Une petite brise passa et l’odeur des humains d’en bas arrivèrent au narines du vampire, tout ses sens se mirent en alerte et il fallut qu’il se fasse violence pour ne pas sauter et dévorer un ou deux passants. Mais la première règles étaient de ne jamais se faire repérer ! Des gens étaient à leurs troussent, et tentaient à leurs vies. Alex ferma la fenêtre en vitesse et reparti s’assoir face au piano et se re-concentra, il pausa délicatement ses doigts sur les touches et continua a jouer la mélodie de tout à l’heure.